Rentrée : comment lutter contre l’absentéisme des salariés

L’absentéisme au travail, un phénomène au croisement de plusieurs facteurs : conditions de travail, santé, engagement et vie personnelle. Un absentéisme en constante augmentation depuis 2015 (+18%), selon Gras Savoye Willis Towers Watson, qui analyse les temps de travail de plus de 500 000 salariés en France, d’entreprises de tous secteurs et tailles confondus.
Mais l’absentéisme a radicalement changé de physionomie pendant le confinement : une forte baisse chez certaines populations (salariés en télétravail, mais aussi salariés sur site dans des activités clés (médical, logistique, etc.)), et une forte hausse chez d’autres populations à travers les « arrêts spéciaux » (populations fragiles, salariés à forte distance domicile – travail dans les grandes agglomérations, etc.). Depuis juin l’absentéisme retrouve progressivement une physionomie plus classique, et augmente à nouveau pour revenir à des niveaux habituellement constatés en été.

– Qu’est-ce que ces chiffres nous disent sur les comportements des salariés ?

– Comment les rendre utiles pour des prochains confinements ?

– Quels sont les secteurs aux taux d’absentéisme les plus élevés ?

– Quels sont les coûts de ce phénomène pour les employeurs ?

– En quoi l’absentéisme est une mesure factuelle de la santé et de l’engagement des collaborateurs ?

– Quel est l’intérêt de piloter l’absentéisme dans ce contexte ? Avec quels indicateurs en temps réels ?

– Comment l’absentéisme peut être un indicateur permettant d’anticiper un décrochage, un virage non pris ?

– Comment les entreprises peuvent-elles réengager leurs salariés en cette rentrée mouvementée ?

– Quelles sont les actions mises en œuvre dans les entreprises pour faire baisser l’absentéisme ?

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