Grande démission ou quiet firing, et si l’actionnariat salariat pouvait remotiver les salariés ?

De plus en plus s’observe en France et à tout âge, une certaine forme de désengagement de nombreux salariés. Et les chiffres traduisent la tendance, puisque selon le dernier rapport de la Dares, on compte autour de 500 000 démissions par trimestre… Les entreprises doivent alors réagir et trouver les leviers pour remotiver leurs troupes.

Et parmi eux, l’actionnariat salarié. Un outil permettant au salarié de retrouver un sentiment d’appartenance à l’entreprise en obtenant un juste retour de sa contribution et percevoir une part des bénéfices. Si l’actionnariat salarié semble être le barrage nécéssaire face au désengagement, encore trop de flou persiste et de multiples questions se posent aussi bien du côté employeur qu’employé …

• Comment se définit l’actionnariat salarié ? Permet-il au salarié de devenir actionnaire ?
• Quels bénéfices pour le salarié ? Quels inconvénients pour l’employeur ?
• Ce processus fait-il ses preuves en France ? Quels chiffres ?  
• Y’at-il d’autres leviers pour inciter le salarié à s’investir ?
• Flexibiliser encore plus le temps de travail pourrait-il être la solution ?
• Etc   

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