Quiet Quitting : Lever le pied plutôt que démissionner

Popularisée au départ sur les réseaux sociaux, après la grande démission, c’est une nouvelle vague nommée « quiet quitting » ou « démission douce » qui s’empare de plus en plus des salariés ou des cadres démotivés par leur travail. Leur but ? En faire le moins possible, respecter strictement les heure de travail tout en justifiant de leur utilité par leur présence.

 

Un phénomène viral mais qui inquiète sévèrement les DRH. C’est ici que l’étude Gallup intervient puisqu’elle recense depuis des année le taux de « désengagement » dans les entreprises : au dernier pointage, ils seraient 21% dans le monde.

  • Que doit faire l’employeur pour lutter contre cette tendance ?
  • Est-ce considéré comme une faute grave susceptible d’un licenciement ?
  • Accepter le télétravail ou la semaine de 4 jours serait-il la solution ?
  • Quelle situation dans les pays voisins ? La crise sanitaire est-elle la seule raison ?
  • Que doivent faire les recruteurs / rh ?
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